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J’ai rencontré Amar en Algérie, j’avais 18 ans. Il étudie aux Beaux-Arts d’Alger. Je le vois souvent. Sinon, on se parle par sms interposés. On marchera dans le Hoggar, un jour. C’est peut-être là, que je commencerai à comprendre qui je suis?

Amazigh, le frère d'Amar, Lilla, sa soeur et Saïd, son père.

Lire

en français

le texte
du prélude anonyme 

interprété par
Meskoud

en arabe algérois
 

la chanson de Meskoud
Le village d’Amar
Le Djudjura, vu de chez Amar
Le chat d’Amar.
Oies de Kabylie.
Cocorico du Djurdjura.
Mémoire vive.
Pause à la Casbah.
Alger la blanche.
Mère et enfant.
Le thé.
Traces.
Bivouac au désert.
Mission.
Palmier.
Fleurs si rouges.
Moi, libellule.
Paon fuyant.
La pluie.
Oiseau sur la branche.
Coin secret.
Jarres.
Papillon au pied du mur.
Le figuier.
Gazelle.
Mur.

Ce que j'aime en Algérie, c'est que quand je m'en éloigne, j'habite plus profondément dans le coeur de ceux qui restent.  

Ce que j'aime en Algérie, c'est que, même si tu la quittes, quelqu'un se souvient de toi quand tu reviens.

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